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Tribune

  • TRIBUNE La situation mondiale des pêches et de l’aquaculture en 2018 : atteindre les objectifs de developpement durable

    Dans son édition de 2018, la situation mondiale des pêches et de l’aquaculture donne un coup de projecteur sur le rôle des secteurs de la pêche et de l’aquaculture dans la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des objectifs de développement durable, et mesure les progrès déjà accomplis. L’accent est mis en particulier sur la contribution de la pêche continentale et de la pêche artisanale et sur l’importance d’une gouvernance axée sur les droits, source d’un développement équitable et inclusif. Comme dans les éditions précédentes, le rapport s’ouvre sur une analyse mondiale des tendances suivies par les secteurs de la pêche et de l’aquaculture: production, stocks, transformation et utilisation, échanges commerciaux et consommation. Cette analyse, qui s’appuie sur les statistiques officielles les plus récentes, s’accompagne d’un examen de la situation mondiale des flottilles de pêche, de l’action de l’homme dans le secteur et de la gouvernance de la pêche et de l’aquaculture. Les deuxième, troisième et quatrième parties sont consacrées à la biodiversité aquatique, à l’approche écosystémique de la pêche et de l’aquaculture, aux incidences du changement climatique et aux stratégies suivies, à la contribution du secteur à la sécurité alimentaire et à la nutrition humaine ainsi qu’aux questions liées au commerce international, à la protection des consommateurs et à des chaînes de valeur durables. Il est également question de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée dans le monde, des préoccupations liées à la pollution marine et des efforts déployés par la FAO pour améliorer les données sur les pêches de capture. Enfin, le rapport donne un aperçu des perspectives du secteur, notamment des projections à l’horizon 2030. Comme toujours, La situation mondiale des pêches et de l’aquaculture vise à fournir des informations objectives, fiables et actualisées à un large éventail de lecteurs – décideurs publics, gestionnaires, scientifiques, parties prenantes et plus généralement toute personne s’intéressant aux secteurs de la pêche et de l’aquaculture. (Résumé de l'éditeur).

    Lire et télécharger le rapport sur le site de la FAO

    Le rapport est publié dans plusieurs langues : anglais, arabe, chinois, espagnol et russe

    Des informations complémentaires sont disponibles:

    Objectifs du developpement durable

  • TRIBUNE Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2018 : Les solutions fondées sur la nature pour la gestion de l’eau

    Le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau offre une image précise de l’état des ressources mondiales et s’emploie à fournir aux dirigeants des instruments leur permettant de mettre en œuvre une gestion plus durable de ces ressources. L'édition 2018 du rapport plaide en faveur de solutions fondées sur la nature (SfN) pour améliorer l’approvisionnement et la qualité de l’eau, réduire l’impact des catastrophes naturelles, la sécurité alimentaire et énergétique à la santé humaine et au développement socioéconomique durable.

  • TRIBUNE Avantages des programmes de restauration des cours d'eau européens : une analyse de 13 études de cas visant à intégrer l'amélioration des conditions écologiques et l'atténuation des risques d'inondation

    L'analyse a été réalisée à travers une revue des bases de données existantes, y compris le wiki LIFE + RESTORE, le wiki FP7 REFORM, et quelques bases de données nationales. Ce rapport vise à soutenir la reproduction des initiatives réussies de restauration des rivières dans les régions et à suggérer des moyens d'améliorer la mise en œuvre de la politique européenne de l'eau.

  • TRIBUNE La ripisylve : intérêts et particularités, travaux, gestion

    Ce dossier est rédigé à l’initiative du Contrat de Rivière Sambre & Affluents et du PEFC Belgique (Le Programme de reconnaissance des certifications forestières : PEFC, en anglais: initialement Pan European Forest Certification).

    D’une part, le PEFC Belgique prône la gestion durable des forêts et d’autre part, les Contrats  de  Rivière  œuvrent,  notamment,  à  l’amélioration  de  la  qualité  des eaux de surface. Ces deux acteurs ont vu l’opportunité, à travers la rédaction de ce dossier, de croiser des notions de gestion forestière et de gestion des cours d’eau. Ce dossier a pour objectif de montrer que la gestion de l’espace entourant un cours d’eau en milieu forestier nécessite, d’une part, des notions d’hydraulique et de biodiversité  liées  aux  cours  d’eau  et,  d’autre  part,  une  approche  spécifique  de  la  sylviculture. Il offre un panorama complet et pragmatique que possible des forêts rivulaires. Il est constitué de trois chapitres. Le premier s’attache à situer le contexte tandis que les deux suivants abordent les aspects «travaux forestiers » et « gestion et sylviculture ». Chacune de ces sections traitera d’une série de sujets qui seront étudiés selon une grille de lecture transversale incluant les aspects biologiques, sylvicoles, légaux et la certification. Ce dossier est riche en illustrations graphiques. Il est publié dans la revue Silva Belgica (janvier-février 2018) une revue de référence en matière forestière.

    Qu'en est-il du PEFC France ? : comment ça marche la gestion durable des forêts, les chiffres clés...

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  • TRIBUNE Synthèse - Panorama des projets liés à l’eutrophisation sous financements européens

    L’étude porte sur un aspect ne rentrant pas en compte dans l'Expertise Scientifique Collective (ESCo), à savoir, l’analyse des actions et recherches européennes sur l’eutrophisation. Il s’agit de réaliser un panorama des projets liés à l’eutrophisation financés par l’Union Européenne ces dix dernières années. Ces  projets, de nature et  de structure très diverses (recherche fondamentale, recherche  appliquée  ou  projet  de  gestion,  mono  ou  multipartenaires) représentent un budget européen de près de 37 millions d’euros (ce qui reste tout de même faible au vu des plusieurs dizaines de milliards d’euros consacrés à la recherche et à l’innovation par l’Europe). Ainsi ce panorama a pour vocation de visualiser l’état des lieux des préoccupations européennes, d’identifier les aspects de l’eutrophisation les plus régulièrement abordés, ou, au contraire, de pointer les aspects plus délaissés, des manques de recherche ou de moyens sur le sujet. Cette étude présente, dans un premier temps, la méthode employée pour identifier les projets sur l’eutrophisation et les critères d’analyse utilisés, puis, dans un second temps, les résultats de l’analyse.

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  • TRIBUNE Eau et Climat : les grandes rivières du monde se rencontrent

    Le Sommet International sur "L'eau et le climat : les grands fleuves du monde se rencontrent", fut orgarnisé par le Ministère italien de l'Environnement, de la Protection du Territoire et de la Mer du 23 au 25 octobre 2017 à Rome. Il a réuni les plus grands bassins hydrographiques du Monde (plus de 30 bassins présents), qui concernent plus de 100 Pays, 45 délégations provenant des 5 continents, et environ 100 intervenants et représentants de haut niveau de tous les organismes les plus significatifs, notamment la Commission Européenne, les grandes agences des Nations Unies, l’Union pour la Méditerranée. Le sommet a été une occasion exceptionnelle d'associer des propositions de projets aux opportunités de financement et de favoriser le partage d'expériences entre les grands organismes de bassin, les administrations locales, nationales et régionales, chargées des politiques d'adaptation aux changements climatiques et de la gestion des ressources en eau, les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux et les autres institutions internationales intéressées par l'adaptation au changement climatique et par la gestion par bassin. 

    Les travaux du Sommet se sont organisés autour de quatre grands thèmes majeurs :

    1. L’acquisition et le partage des connaissances sur l’impact du changement climatique sur les ressources en eau,
    2. La gestion des ressources en eau et des écosystèmes aquatiques,
    3. La participation du public et l’implication des secteurs économiques et des autorités locales,
    4. Les mécanismes financiers adaptés à l’adaptation aux changements climatiques dans le secteur de l’eau.
  • TRIBUNE Innovation technologique française primée en 2017 : le Soleil pour produire de l'eau potable

    Une solution innovante de production d'eau potable à partir d'eau de mer utilisant 100% d'énergies renouvelables, et fonctionnant selon le principe de la distillation solaire. Ce projet HELIO est co-financé par la Région Paca, l'Etat, BPI France et l'Union Européenne (Fonds Européen de Développement Régional). Cette solution repose sur l'équation qui permet de concilier la potabilisation de l'eau et la rationalisation des coûts. Le 24 octobre a eu lieu l'inauguration de la ferme pilote HELIO de production d'eau potable, accueillie par la Ville de St Raphaël et la CAVEM, et installée au Vieux-Port de St Raphaël jusqu'en décembre. Comment fonctionne-t-il ? Y a t il un enjeu sanitaire mondial ? Les objectifs du système HELIO sont de subvenir aux besoins en eau potable des populations vivant en zones arides ; et de répondre à la problématique du manque d'eau, première cause de mortalité dans le monde qui concerne 780 millions de personnes.

     Pour en savoir plus :

    Marseille la Tribune

    La ville de Saint Raphael

    Le media La Marseillaise

    La Communauté d'Agglomération du Var-Estérel-Méditerranée (CAVEM)

    Une synthèse technique sur les énergies renouvelables pour la production et l’économie d’énergie dans le domaine de l’eau et de l’assainissement est référencée dans Eaudoc.  Cette publication présente les coûts de consommation énergétique les plus importants sur les usines d’eau potable et d’assainissement. Dans un second temps, trois systèmes de production d’énergie renouvelable (solaire, éolien et biogaz) sont analysés d’un point de vue technique.

    Lange J. / AgroParisTech - OIEau (2015)

    Source:
  • TRIBUNE 2017 : les Eaux usées, une ressource inexploitée

    L'édition 2017 du Rapport mondial des Nations unies sur la mise en valeur des ressources en eau (WWDR) intitulé "Les eaux usées : une ressource inexploitée " montre l'importance de gérer les eaux usées comme une ressource durable, d’énergie, de nutriments et d’autres sous-produits réutilisables, plutôt que de s’en débarrasser.  Aujourd'hui, une bonne part des eaux usées est rejetée dans la nature sans être ni collectée ni traitée. C’est particulièrement vrai dans les pays à faible revenu qui traitent en moyenne 8 % des eaux usées, contre 70 % dans les pays développés. De fait, dans de nombreuses régions, des eaux polluées se déversent directement dans les rues, les cours d’eau, les lacs et pour finir, dans les océans, avec des conséquences graves pour l’environnement et la santé humaine. La pollution a pour effet de réduire la disponibilité en eau douce alors que les pressions sur cette ressource s’accentuent, notamment sous l’effet du changement climatique. La collecte, le traitement et la réutilisation de l’eau sont le fondement d’une économie circulaire, conciliant développement économique et utilisation durable des ressources. C’est dans l’agriculture que la réutilisation des eaux usées est aujourd’hui la plus répandue. On recense au moins 50 pays dans le monde qui la pratiquent sur une superficie estimée à 10 % de toutes les terres irriguées. Mais cette pratique se heurte à des problèmes sanitaires lorsque l’eau non traitée contient des pathogènes qui peuvent contaminer les cultures.Dans le domaine industriel, de grandes quantités d’eau peuvent également être réutilisées dans les processus de production. En 2020, on estime que le marché du traitement des eaux industrielles devrait augmenter de 50 %.

  • TRIBUNE Using Water Smarter : Economie de la ressource et potentiel de réutilisation des eaux usées dans le secteur agricole

    Dans un contexte mondial de changement climatique et de pression croissante sur la ressource en eau douce, la Réutilisation des Eaux Usées Epurées (REUSE) apparaît comme une option intéressante et génératrice de valeur économique, s’inscrivant dans un schéma d’économie circulaire : l’effluent en sortie de station d’épuration (STEP) est réintégré sous forme d’intrant dans un autre système. Ses usages peuvent être multiples : l’irrigation (agriculture, golfs, espaces verts), les process industriels, la réalimentation de nappes, la restauration des milieux aquatiques ou même la production d’eau potable. Les caractéristiques d’un projet de REUSE varient d’un contexte à l’autre, rendant leur mise en œuvre chaque fois singulière. Il est donc nécessaire d’étudier chaque projet de façon intégrée, en prenant en compte l’ensemble des aspects règlementaires, techniques, environnementaux, économiques, sanitaires, sociologiques et institutionnels. Malgré ses fortes potentialités de déploiement à l’échelle du territoire français, la REUSE reste une  solution  alternative représentée  par  quelques  projets  pilotes  et expérimentaux. Un système précurseur de REUSE en sylviculture a particulièrement retenu notre attention en raison de ses intérêts techniques, économiques et sanitaires.

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  • TRIBUNE Les coûts cachés de l'usage des pesticides/The Hidden and External Costs of Pesticide Use

    Deux chercheurs de l’Inra ont récemment publié dans Sustainable agriculture review 19, P.35-120, une étude portant sur l’ensemble des coûts associés à l’usage de pesticides. En s’appuyant sur 61 articles scientifiques, quatre grands types de coûts ont été identifiés : réglementaires , en matière de santé publique, les effets sur l’environnement, et les dépenses dites « défensives »... Les co-auteurs de ces travaux : Thomas Guillemaud et Denis Bourguet- Inra

    Pour en savoir plus : Site du Ministère de l'Agriculture - auteur de cette analyse : Clément Villien, Centre d'études et de prospective