Agriculture biologique et changement climatique : principales conclusions du colloque de Clermont-Ferrand (2008)
Ce colloque a confirmé que l’agriculture biologique émet moins de gaz à effet de serre (GES) par unité de surface que l’agriculture conventionnelle, et que nos habitudes alimentaires ont un fort impact sur les facteurs intervenant sur le changement climatique. Il a par ailleurs apporté un éclairage nouveau et des informations originales dans de nombreux domaines. En matière de mitigation des émissions de GES par l’agriculture biologique, les deux atouts principaux de cette dernière, tels qu’ils sont ressortis de ce colloque, sont la séquestration de carbone dans le sol et la non utilisation d’azote de synthèse. Des pistes d’amélioration des pratiques et des orientations de recherche sont identifiées.
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