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Le 12ème rapport annuel de l’observatoire de services publics d’eau et d’assainissement de l’OFB vient d'être publié et porte sur l’année 2020. Il a été réalisé à partir des données disponibles dans la base SISPEA au mois de Janvier 2022. Ce document vise à faire un panorama de l’organisation et de la performance des services publics d’eau, d’assainissement collectif et non collectif.

Fin 2022, le satellite SWOT appartenant à la NASA et au Centre national d'études spatiales (CNES) permettra le suivi global de ressources en eau des surfaces continentales. Le satellite est composé de deux antennes radar avec des capacités de traitement interférométrique donnant la capacité de mesurer des variations de surface et de hauteur sur un même instrument. Il sera possible alors d’estimer des débits de rivières et la variation des volumes d’eau des lacs et réservoirs dans le monde entier.

Le service des données et études statistiques (SDES) a réalisé une étude sur les évolutions de la ressource en eau renouvelable (cours d’eau et précipitations ne retournant pas à l’atmosphère) en mobilisant des données météorologiques et hydrologiques sur la France métropolitaine de 1990 à 2018. Ce rapport montre que la ressource en eau renouvelable a diminué de 14 % passant de 229 milliards de m3 (moyenne annuelle) s

Un temps estival anormalement chaud, sec et très ensoleillé s’est établi sur la France durant le mois de mai. Moins de dix jours de pluie sur l’ensemble du territoire ont été enregistrés. En moyenne sur le pays et sur le mois, la pluviométrie a été déficitaire de 65 %. Mai 2022 est ainsi le mois de mai le plus sec depuis 1959 devant mai 1989 et mai 2011, déficitaires de près de 60 %.

La BD TOPAGE® est le nouveau référentiel hydrographique français, remplaçant ainsi la BD CARTHAGE ® (Base de Données sur la CARtographie THématique des AGences de l'eau et du ministère chargé de l'environnement). La BD TOPAGE® comprend des jeux de données des cours d'eau, plans d'eau, tronçons hydrographiques, surfaces élémentaires, nœuds hydrographiques (sources et exutoires), limites terre-mer, bassins hydrographiques et bassins versant topographiques. Il provient d’un partenariat entre l'Institut national de l'information géographique et fo

 

Les passages perturbés ont été assez rares pour la saison avec généralement moins de dix jours de pluie. Les perturbations ont été peu actives hormis les 7 et 8 avril sur le nord et le centre de l’Hexagone au passage de la tempête « Diego » puis du 19 au 24 principalement sur la moitié sud et la Corse avec par endroits de fortes pluies orageuses. Les cumuls de pluie ont été déficitaires de plus de 20 % sur une grande partie du territoire. En moyenne sur le pays et le mois d'avril, la pluviométrie a été déficitaire de 25 %.

Plus de 8 millions de données ont été ajoutées à l’INPN depuis décembre 2021. Le Système d’Information de l’iNventaire du Patrimoine naturel (SINP), dispositif partenarial entre le ministère chargé de l'environnement, l'Office français de la biodiversité, le Muséum national d'Histoire naturelle, les associations, les collectivités territoriales, les établissements publics ou privés, les services déconcentrés de l'État permet de compiler des données d’observations d’espèces transmises par les partenaires.

Les conditions anticycloniques ont dominé et le soleil a été particulièrement généreux sur le nord de l’Hexagone. Du 11 au 13, un épisode méditerranéen intense a généré des pluies diluviennes des Pyrénées-Orientales à la Montagne Noire et à l’Ardèche avec des cumuls remarquables, parfois records pour un mois de mars sur l’Aude, l’Hérault et le sud du Tarn, classant ce mois de mars au cinquième rang des plus arrosés sur la période 1959-2022.

Le rapport soumis au Comité National de l'Eau sur la mise en œuvre du Schéma National des Données sur l'Eau, présenté par l'Office Français de la Biodiversité et les acteurs de l’eau, met en lumière les temps forts du Système d’Information sur l’Eau (SIE) de la période 2017 - 2020.

Une équipe de la NASA vient de développer une nouvelle méthode pour améliorer la gestion des nappes souterraines. Elle consiste à croiser des données satellite pour distinguer les différents types de nappes phréatiques : libres ou captives.