FISHOLA est l'application smartphone pour une gestion durable de la pêche sur les lacs alpins (Léman, lacs d’Annecy, du Bourget et d’Aiguebelette). En renseignant ces informations vous participez à la compréhension et à la préservation des lacs mais aussi à la connaissance du loisir pêche et de sa pratique. FISHOLA est également un projet de science participative qui permet de recueillir des informations essentielles pour une meilleure gestion halieutique mais aussi à des fins de recherche sur les communautés de poissons lacustres. Toutes les données collectées sont analysées par des scientifiques afin de mieux comprendre l’évolution des populations de poissons lacustres face aux changements globaux. Les données collectées permettront également d’adapter au mieux la règlementation de la pêche pour une gestion durable des populations de poissons. Fishola est une application issue de ka collaboration entre les pêcheurs et les scientifiques de l'UMR CARRTELL et du Cisalb.

Et si nous en apprenions davantage sur les mulettes d'eau douce pour mieux les protéger ? Vienne Nature travaille depuis de nombreuses années sur ce sujet.

Durant 185 jours, un couple a fait cinq tentatives de nidification (dont trois ont été couronnées de succès) et élevé 19 jeunes (la femelle a pondu au total 33 œufs dans deux nids).

10.000 œufs ont été placés dans l'incubateur à saumons du parc Beaulieu de Riorges, au bord du Renaison, ce vendredi. Le début d'une aventure semée de multiples embûches...

Le lipidome constitue l’ensemble des lipides d’un organisme vivant. Son analyse chez les gammares, espèce sentinelle bio-indicatrice de la pollution des écosystèmes aquatiques, permet de mieux comprendre les mécanismes de toxicité induits par les polluants. En analysant le lipidome chez le crustacé Gammarus fossarum, des chercheurs de l’Université Claude Bernard Lyon 1, de l’INRAE et du CNRS, en collaboration avec l’Institut Max Planck de Dresde, ont pour la première fois localisé et identifié des lipides sulfatés chez ce crustacé d’eau douce. Ces résultats, publiés dans la revue iScience, ouvrent la voie à une meilleure compréhension de l’impact des polluants sur les milieux aquatiques.

Pour percer le secret de ces rivières marines de surface, les chercheurs ont effectué plus de 130 traits de filet à plancton en leur sein et dans les eaux environnantes. Ces eaux concentraient également 75% des débris organiques flottants tels que plumes et feuilles, une parfaite couverture pour tromper les prédateurs et protéger les bébés poissons. Mieux : à l'ouest de l'île, les densités de larves de poissons étaient 7 fois plus élevées au sein de ces flux d'eaux paisibles que dans les eaux environnantes ! Certains taxons de poissons étaient dans ce milieu entre 10 et 100 fois plus abondants que dans les eaux environnantes. Le gîte et le couvert !

WWF publie un rapport sur les poissons oubliés dans le monde. Les poissons d'eau douce sont menacés et certains sont en voie d'extinction.

La plupart des médicaments, y compris les médicaments psychoactifs tels que la fluoxétine (rendue célèbre par la marque Prozac), ne sont que partiellement absorbés par l'organisme lorsqu'ils sont ingérés. Le reste du produit chimique se retrouve ensuite dans les toilettes, où il est rejeté dans les égouts.Des études ont montré que la pollution en aval fait que les poissons baignent dans une soupe de drogues - un phénomène insidieux qui peut affecter leur comportement d'une manière étrange que nous commençons seulement à comprendre. (Artilce de Peter DOCKRILL)

En ingurgitant nos antidépresseurs, certains poissons perdent toute «individualité». Ingurgités par les êtres humains, les antibactériens, pilules contre la douleur, antidépresseurs et autres sont déversés dans les égouts, avant de transiter par des usines de traitement des eaux usées, rarement conçus pour traiter ces produits chimiques. Ces substances finissent dans les rivières, puis terminent leur périple dans les mers, où les poissons en tous genres avalent ce véritable cocktail pharmaceutique insidieux. (Article de Robin Tutenges)

L’Observatoire Grand Est de la Biodiversité (OGEB) a été initié en 2016 par la Région Grand Est en lien avec le Collectif Régional dont l’Office français de la biodiversité (OFB) est partie prenante. Il a pour mission d’évaluer les effets des actions en faveur de la biodiversité sur le territoire par le suivi d’indicateurs ou outils de mesures.

Fruit d’un travail collaboratif impliquant notamment la DREAL, la Région, la Direction régionale de l’OFB et les Agences de l’eau Rhin-Meuse, Seine-Normandie et Rhône-Méditerranée-Corse, cette brochure est la première publication de l’observatoire.

Elle présente les 20 thématiques de travail de l’OGEB ainsi que des éléments de réponses à 9 problématiques identifiées dans la région

A découvrir le travail de la FNE sur les ripisylves, ces forêts alluviales d'intérêt majeur pour les paysages, la ressource en eau, la biodiversité. Préserver les ripisylves, c'est préserver la qualité de vie sur les territoires.

Une quinzaine d'associations de pêcheurs et d'écologistes ont déposé un recours en justice afin d'obtenir l'interdiction de la pêche aux filets dérivants dans l'Adour.

Le Département Sciences et Technologies organise une conférence jeudi 25 février à partir de 14h, à l’Amphithéâtre A de l’Université de Guyane sur la faune d’eau douce de Guyane. Celle-ci sera présentée par Grégory QUARTAROLLO, Président de l’association Guyane Wild Fish, et co-animée par Simon Clavier, fondateur d’Onikha.

Un petit crustacé de la taille d'une lentille, jusqu'alors inconnu en Alsace, a été découvert dans un marais de la commune de Seltz, dans le Bas-Rhin. Les naturalistes souhaitent pouvoir assurer l'avenir de cette espèce, classée en danger critique d'extinction, par une gestion écologique du site.

Un retraité a écopé d’une peine d’amende pour avoir détruit au tractopelle des barrages édifiés sur son terrain par des castors d’Europe.

À partir de février, les agents de la direction régionale Auvergne-Rhône-Alpes de l’Office français de la biodiversité (OFB) effectuent un suivi de plusieurs zones humides favorables à la reproduction des amphibiens.

Cette RAR est proposée en présentiel dans le respect des mesures sanitaires en vigueur. Elle se déroule en basse vallée du Doubs, sur le secteur de Lays-sur-le-Doubs (39-71). Venez découvrir les actons déployées localement en matière d’intégration de l’espèce dans la gestion des cours d’eau et échanger sur les bénéfices de la présence du castor sur le cours d’eau. Le programme de la rencontre et le bulletin d’inscription seront disponibles à partir de la semaine 11.

Samedi 6 février, deux épreintes de Loutre d’Europe ont été découvertes par le Groupe Mammalogique Breton dans la vallée de Gouëdic à Saint-Brieuc. Si l’on savait l’espèce présente dans le port du Légué et la vallée du Gouët entre Plérin et Saint-Brieuc, la fréquentation de ce ruisseau qui traverse tout le cœur de ville est une nouvelle plutôt inattendue et réjouissante.

La Ville a décidé de venir en aide aux amphibiens, crapauds, grenouilles, tritons ou salamandres, qui se font écraser sur la route.

La RD 153, entre le hameau de Petit-Appeville et la plage de Pourville, sera fermée à la circulation la nuit, en 21h et 6h, à partir du 17 février 2021.

L'espoir renaît peut-être, un peu, pour les propriétaires de la mare aux grenouilles de Grignols, en Dordogne. Lors de l'audience de ce mardi à la cour de cassation, la rapporteur publique a estimé qu'il ne fallait pas toucher aux espèces protégées. Dans huit cas sur 10, la cour suit son opinion.

La plage de Saint-Martin-d'Ardèche pourrait disparaître au profit de la biodiversité de la rivière, l'Etat voulant faire disparaître une digue qui gêne une espèce de poissons en voie d'extinction, l'apron du Rhône.

En deux décennies, le Canton de Genève a investi plus de 200 millions de francs pour réaliser une bonne centaine de travaux de renaturation de cours d’eau, de zones marécageuses et de sites lacustres.

Afin de permettre la circulation des poissons migrateurs tels l’alose et l’anguille, la restauration de la continuité écologique sur le seuil de Chusclan a été étudiée il y a déjà de nombreuses années. En aval de la Cèze, le seuil de Chusclan reste le principal obstacle infranchissable avant la confluence du Rhône.

L'Observatoire Batracho-Herpétologique Normand (OBHEN) vient de lancer "un grand appel à témoignages" pour identifier les secteurs routiers à risque pour les amphibiens.

Selon la liste rouge de l’UICN, les espèces introduites envahissantes constituent la 3ème menace pesant sur les espèces à l’échelle mondiale. La DEAL possède et met régulièrement à jour une base de données afin de répertorier toutes les EEE observées en Guadeloupe. Cela permet ensuite de prendre des mesures de gestion ou de lutte efficaces.

Les amphibiens (tritons, salamandres, crapauds, grenouilles…) et les reptiles (lézards, serpents…) sont des animaux fascinants aux allures de petits dragons ! Mais ces créatures ne peuplent pas seulement les forêts profondes ou les réserves naturelles… Tout le monde peut les observer dans son jardin ou sur son chemin lors de ses balades ! L’objectif de cette opération de sciences participatives est de permettre à tous de participer à l’amélioration des connaissances nécessaires à la conservation des amphibiens et des reptiles, animaux particulièrement menacés. En effet, selon la Liste rouge, une espèce sur cinq risque de disparaître de France métropolitaine si rien n’est fait pour stopper leurs régressions. Les amphibiens et les reptiles disparaissent… Vous pouvez agir !

Vaivre-et-Montoille. La fédération de pêche de la Haute-Saône a fait réaliser une vaste maquette hydraulique représentant une rivière dans son environnement. Elle illustre les atteintes au milieu qu’engendrent les interventions humaines.

Depuis trois ans, l’école de la Providence n’hésite pas à agrémenter le programme scolaire d’autres méthodes comme celle de Maria Montessori ou d’autres voies avec une approche de l’écologie ou la nature.

Mise en place d’une stratégie nationale de gestion relative à la Tortue de FlorideLe règlement européen n°1143/2014 relatif à la prévention et à la gestion de l’introduction et de la propagation des espèces exotiques envahissantes (EEE) demande, dans l’article 19, la mise en place de mesures de gestion des EEE préoccupantes pour l’Union considérées comme « largement répandues ». Au niveau national, cette volonté est exprimée dans l’objectif 5 de la Stratégie nationale de gestion relative aux EEE. Comme pour toutes les SNG, celle pour la Trachémyde écrite sera constituée de quatre parties selon le gabarit défini et adapté pour la faune. Cela permettra, notamment, de décliner les objectifs et les stratégies de gestion par secteurs géographiques en fonction de l’état et des risques de naturalisation de l’espèce. La SNG exposera également, de manière analytique et synthétique, les méthodes de gestion existantes et leur efficacité, documentées à partir d’exemples et de retours d’expériences nationaux et européens, afin d’établir des recommandations pour la mise en place d’interventions.

L'Office français de la biodiversité vient de lancer son nouvel appel à projets pour la réalisation des Atlas de la biodiversité communale. Il est doté cette année de quelque 4 millions d'euros, l'aide pour chaque commune ou intercommunalité pouvant atteindre 250 000 euros.

Liste des amphibiens et des reptiles représentés sur le territoire métropolitain protégés sur l'ensemble du territoire national et les modalités de leur protection

La veille, en ethnobotanique comme pour les autres sciences, est essentielle. Un nouveau site vous propose 18 outils pour assurer une veille de qualité.

Un castor s’est offert une promenade nocturne à Lyon dans la nuit de samedi à dimanche. La scène a été filmée par plusieurs internautes, certainement surpris de voir cet animal qui a généralement l’habitude de rester dans sa tanière au niveau des Berges du Rhône.